Entré au Carroi il y a quelques années par la porte de l’atelier théâtre, Nicolas Royer est aujourd’hui le nouveau président de l’association. Un engagement et une fierté.
« J’avais toujours eu envie de faire du théâtre. En 2019, lorsque je me suis installé à La Flèche, les planètes étaient enfin alignées : j’en avais l’opportunité et le temps. »
Ce sera au Carroi, au sein de l’atelier dirigé par le comédien Philippe Bilheur et la première fois sur scène dans Hôtel du Nord.
« Quel plaisir de jouer cinq soirs de suite dans ce magnifique écrin chargé d’histoire qu’est le théâtre de la Halle-au-Blé ! Un véritable honneur pour une troupe de comédiens amateurs. »
Nicolas Royer rejoint rapidement le conseil d’administration de l’association.
« Le bénévolat a toujours fait partie de ma vie. »
Quant à la culture, c’est l’un de ses moteurs.
« J’étais déjà passionné de musique et je me suis plongé dans l’art vivant depuis que je suis Fléchois. Expositions, spectacles, arts de la rue… Ici j’ai pu assouvir ma curiosité. »
« La vraie vie »
Cinq ans après, le voilà à la tête de l’association, motivé par l’envie de rendre service. Son rôle ?
« Aider à la prise de décisions, à la définition des grandes lignes, contribuer à la vie du Carroi, riche de plus de 1 000 adhérents et aussi, participer à son rayonnement en dehors de La Flèche. »
Une mission d’autant plus facile à porter que Nicolas Royer voue une admiration sincère à cette grande maison.
« J’ai été et je suis encore épaté par cette association qui s’adresse à tous les publics et en particulier aux jeunes, qui permet, tout au long de l’année de s’instruire, de se divertir et de vibrer. »
Au poste qui est désormais le sien, il entend participer à :
« Consolider l’édifice, dans la lignée de tout ce qui a déjà été construit, aider le Carroi à naviguer dans un contexte compliqué, pas forcément favorable à la culture et développer de nouvelles sources de revenus. »
En tout cas il l’assure :
« Le Carroi est une belle porte d’entrée pour les nouveaux Fléchois. Ici on créé du lien, c’est la vraie vie. »